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Arpettes: Cie 4 A Septembre 1973
Arpettes: Cie 4 A Septembre 1973
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11 juillet 2019

C’est donc ça l’été.

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Après les grosses chaleurs de juin et les gros orages de ce début de mois, il faut trouver un juste milieu. Les volets sont croisés, les fenêtres fermées,une petite boisson fraîche en regardant le tour de France et en attendant le défilé du 14 juillet.

Juillet la saison des confitures, les pâtés et autres terrines attendrons l’ouverture de la chasse et surtout le retour des chasseurs !!!!

Les travaux de recherches sont plus longs que prévu et nous avançons lentement sur le chemin de la cour principale afin de rendre un appel complet avant le casse-croute et de prendre la direction des ateliers ou des salles de cours.

La journée de services intérieurs est longue et sous le soleil et les corvées sont pesantes, mais il faut y passer pour le bien être de la communauté. Direction; qui la cuisine, le poste OM , le carré des Officiers, mais aussi la souillarde le camions poubelle et les quarts de nuit avec une tasse de thé au rhum à l’aubette avant de donner le mots de passe en bas de la colline.

Halte là, Qui va là ? il ne fallait pas se rater sinon gare !!!!

Vivement samedi, l’appel des permissionnaires ; ne pas se rater là non plus, le bon nombre de rayures apparentes, la bonne ceinture, le cirage qui brille et la jugulaire aligné….

Ne pas rater la Mélusine à l’aller comme au retour et ne pas se faire prendre avec les vêtements civils alors qu'on laissait l'uniforme pour la journée au Navigateur.

Puis, de temps à autre, retour à la maison : 48h00 en poche direction la gare de Toulon pour une nuit dans le train en attendant de retrouver la famille et de se faire chouchouter par maman et les autres. Le dimanche soir triste sur le quai de la gare avec le sac plein de linge propre et un supplément de nourriture à partager avec les copains pendant la semaine après l’étude et le tour au foyer.

Bref plus j’avance, plus je pense et j’ai hâte de rendre l’appel le plus complet possible.

Alors je retourne au boulot et attend un hypothétique coup de fil, message ou courrier de l’un d’entre nous susceptible de grossir les rangs de cette compagnie qui n’est pas perdu.

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Commentaires
J
Oui, c'était "chaud" avec un ou deux copains dont j'ai oublié le nom.<br /> <br /> Par contre je ne me souviens pas passer mon temps dans le bureau de cie. Il me semble que j'étais en corvée aussi, je sais plus...<br /> <br /> Je me rappelle que tous les 2 ont cadencé le pas à tour de rôle en direction des ateliers ou autre. Tu étais plutôt Houum deeei et moi Huun deeu, classique. lool
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E
C'est vrai que certaines corvées était plus dur que d'autre, j'avais la chance en tant que chef de bordée de rester au bureau de Cie. Et en plus c'est moi qui établissais le tableau des corvées . Ce n'était pas du gout de tout le monde et créait avec certains quelques dissensions . J'ai des Noms ? pas sûr !!!!!
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J
Les corvées... La plus pénible était celle de réfectoire, elle n'en finissait pas!<br /> <br /> La lance à incendie, la raclette, le lavage des plateaux avec la machine ad hoc.<br /> <br /> On se couchait tard, fatigué, mais heureux d'en avoir terminé.
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